dimanche 20 décembre 2015

Le commerce de Noël... Moment de nostalgie


Que dire du commerce de Noël ?

Chaque année on se dit : j'en ferai moins : faux, moi la première!

          Quand on voix la joie dans les yeux des enfants défavorisés à qui des cadeaux, rebuts des grands magasins sont offerts, l'on regrette les fêtes d'antan où les petits s'émerveillaient devant leur paquet apporté par le père Noël.

          Aujourd'hui, ils ont tellement de cadeaux qu'ils déchirent les emballages comme des sauvages, jettent un vague coup d'oeil sur le cadeau et passe au suivant. Si on a la bonne idée de les faire chanter "Petit papa Noël avant l'ouverture" ils disent : "C'est une chanson de vieux". Ils ne vivent que pour les tablettes, les téléphones et tout ce qui est numérique et violent. Les enfants choisissent leurs cadeaux, plus aucun effet de surprise.

          Qu'est donc devenue la vraie tradition de Noël ?

          L'on me répond : Nous sommes dans une autre ère de temps, plus évoluée... Exact, mais oh combien triste et dont les enfants n'auront aucun souvenir vraiment plaisant plus tard.

          Bon, j'arrête, c'était mon petit moment de nostalgie du jour.

       Violette dame mauve le 20 décembre 2015

vendredi 18 décembre 2015

Les Plumes 47 chez Asphodèle



Logo Plumes aspho 4 ème tiré du tumblr vanishingintoclouds


Les modalités du jeu d'écriture en cliquant sur l'image

les mots à placer : 
Espoir - guimauve - comédie - musique - plage - liaison - mièvre - baragouinage - égalité - classique - chanson - inspiration - balai (essuie-glace) - navet -  louche - roman - abracadabrantesque - amoureux - batifoler


          Sur la plage abandonnée batifolent deux égarés des flots de vacanciers  repartis chez eux. Leur liaison peut enfin vivre au grand jour. La musique abracadabrantesque a déserté les podiums pour laisser la place aux mouettes et aux résidents à l'année. A également disparu le baragouinage des enfants survoltés tout comme les stands de pommes d'amour et de guimauves.

          Ils n'ont plus besoin de jouer la comédie devant les parents diamétralement opposés à leur union. Une situation digne d'un vaudeville classique!  La musique dans les oreilles, la chanson de leur rencontre, celle qui les fait encore vibrer comme au premier jour, ils s'assoient sur la grève. Ils n'ont plus rien à cacher, plus rien de louche à éviter. Leur roman considéré comme un navet leur importe peu. 

           Les amoureux, plein d'espoir, retournent dans leur voiture car une pluie fine commence à tomber. les balais d'essuie-glace en mièvre attitude se partagent le pare-brise en parfaite égalité.
Là s'arrête mon inspiration.

Violette dame mauve le 18 décembre 2015

Texte protégé par copyright

lundi 14 décembre 2015

Une image, des mots



Les modalités en cliquant sur l'image.

Dessous coquins, lingerie libertine
Allure intime parfaite de Messaline
Les hommes en perdent leur latin
Les femmes décomplexées badinent.
Corps de rêve pour doigts mutins.
Hélas, la réalité est mannequin!

Violette dame mauve le 14 décembre 2015

lundi 7 décembre 2015

Une image, des mots

 © Vincent Héquet

          Commenter cette image par quelques mots en prose ou en rimes, ou sous n'importe quelle forme, tels sont les modalités de ce défi sur le blog de Leiloona. Voir en cliquant sur l'image.


La peste soit à ceux qui osent brûler
De si beaux écrits, des libres pensées.
Ressortiront des cendres, les intitulés.
Journaux personnels sur feuilles classées,
Impressions du moment, erreurs trépassées,
Expériences et leçons apparemment tirées,
Rien ne s'efface, sommes tributaires du passé.

Violette Dame mauve le 7 décembre 2015

dimanche 6 décembre 2015

SAINT NICOLAS



Saint-Nicolas pour les petits et les grands
Chocolats et  pain d'épices pour les gentils
Père Fouettard et martinet pour les méchants.

le six décembre, s'illuminent les décorations
Comme nous le faisions en Lorraine tradition.
Et à cette règle, pour nous, pas de dérogation.

Bonne Saint-Nicolas à tous

Violette Dame mauve le 6 décembre 2015

lundi 23 novembre 2015

Une image, des mots

© Julien Ribot

Que ne pourrais-je décrire les bas fonds de la capitale,
les risques en se promenant de nuit dans ce monde infernal ?
Faut-il avoir peur en tout temps des lieux sombres ou clairs ?

Autrefois étaient craints les bandits de grands chemins,
Aujourd'hui les infâmes terroristes barbares et inhumains.
N'existe-t-il donc plus d'endroits calmes quelque part
pour vivre en paix loin des armes et des remparts ?

Pouvoir se promener main dans la main
en dévalant les escaliers vers les quais,
ne pas craindre la vue du moindre passant
et s'asseoir sur un banc à la lueur des réverbères.
Hélas, c'est un lointain passé, c'était HIER...

Violette dame mauve le 23 novembre 2015

samedi 21 novembre 2015

Les plumes d'Asphodèle n°46

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modalités en cliquant sur l'image

Les mots à placer :

Bercé - belle - gardien - lapin - destin - envolée - fermer - souffle - partage - quitter - s'abstraire - voyage - cavale - réchapper - chose - respirer, poète - nid - rêve - vie - doux - fugue - oiseau - imaginer - poudre - balles.


          Bercé par une fugue de Bach, un doux rêve éveillé, il s'efforce de mettre au fond de sa mémoire les douloureux moments. Son imagination de poète trouve mille rimes pour décrire la nature. Il regarde l'oiseau niché dans le citronnier frémissant sous le souffle du vent marin. Une envolée de sansonnets, un lapin de garenne au loin, des nids haut-perchés dans les chênes millénaires, tant de belles choses de la vie qui embellissent la faune et la flore si inspiratrices. 
          Il ne peut cependant s'abstraire totalement de ce qu'il a vécu  deux jours plus tôt. Il respire à plein poumons pour calmer son angoisse encore présente. 
     Il était en retard pour rejoindre ses amis à leur restaurant habituel. Il ne se doutait pas du danger évité. Le départ pour l'au-delà n'était pas loin. Il a évité la cavale pour la sauvegarde de sa vie. Il avait entendu siffler les balles, crier les pauvres gens blessés. Au coin de la rue il était tétanisé, incapable de marcher devant le spectacle effrayant! Premier réflexe, il ferma les yeux. Il quitta cependant sa cachette pour aider une jeune-fille qui courait vers lui. Il l'aida à s'abriter sous une porte cochère hors de la vue des terroristes.
          A retardement il ressent de la culpabilité. Pourquoi ? Il est là, vivant alors que tous ses amis sont morts.  Où donc était la protection tant prônée par le gouvernement ? La surveillance tant rabâchée !  Toujours de la poudre aux yeux!

Violette dame mauve le 21 novembre 2015
       

lundi 16 novembre 2015

Une image, des mots


Arbre dénudé immortalisé
Par le photographe amusé
Du flou artistique donné.

Enseigne au loin illisible
Par un oeil imprévisible
Deux sujets indivisibles

Terrain vert, boueux
Où émerge le noueux
Heure du couvre feu.

Violette Dame mauve le 16 novembre 2015

Modalités du défi d'écriture  en cliquant sur l'image

samedi 14 novembre 2015

L'Après, le Pendant, l'Avant et le Sachant....


Des condoléances pour l'Après... 
Pourquoi pas de précaution pour l'Avant ?
Surtout pour un acte présumé...
Prendre des disposition pour le Pendant,
C'est normal
Et courageux pour les Forces de l'ordre
Mais...
Ne pas avoir anticipé avec le Sachant...
C'est ANORMAL!

Violette Dame mauve le 14 novembre 2015

jeudi 12 novembre 2015

Poesie du jeudi

chromo oiseau couronné ana-rosa(1)

Toi et moi

(Pas de Géraldy cette fois)

Toi et moi et toutes ces années passées
Souvenirs que nous ne pouvons oublier
A Metz, Le Bowling des Ambassadeurs
 Où je te vis pour la première fois,
Mon embarras dans ce métier étrenné
Un emploi pas du tout fait pour moi
En octobre ton départ pour l'université, 
Ton étonnement quand mon adresse 
par impulsion je t'ai donnée
 Ta première lettre trois jours plus tard
Dans une belle enveloppe bleutée
Eh oui, là tout à commencé.
Nous avons fêté nos noces d'argent
Puis celles d'émeraude
Les noces d'or dans cinq ans
Si le destin nous le permet.


Violette Dame mauve le 12 novembre 2015

samedi 7 novembre 2015

Federico Garcia Lorca


Ce sont des éditions de 1954

Federico Garcia Lorca
Poète et dramaturge espagnol
né le 5 juin 1898 à Fuente Vaqueros non loin de Grenade
décédé le 19 août 1936 à Viznar, assassiné par les milices franquistes.
Un des écrivain s les plus célèbres après Cervantès.
Il n'a jamais eu d'activité politique mais ne cachait pas son attirance pour la Gauche et les plus démunis.
Il était opposé à la guerre, au fascisme.

          Issu d'une famille bourgeoise et libérale en Andalousie, il suit des études de droit et de Lettres, d'abord à l'université de Grenade puis à celle de Madrid.

          De part son amitié avec Salvador Dali, Sanchez Mazas et Luis Bunuel, il devient l'un des précurseurs de l'art moderne en Espagne.

          Sa première pièce de théâtre "Le maléfice du papillon" en 1920 est un échec. Il se consacre alors à la poésie. Il doit sa notoriété croissante à ses oeuvres "Cancionès" en 1921 et "Romancero gitano" en 1928, influencées par le folklore andalous.

          Homosexuel ne pouvant faire son coming-out, il fait une dépression puis en 1929 et 1930, il donne des conférences aux Etats-Unis.

       Lors du rétablissement de la république espagnole, il devient directeur d'un théâtre étudiant "La Barraca".  La société est subventionnée pour présenter le répertoire classique dans les campagnes. 

          En 1936, au début de la guerre civile, son homosexualité est très mal vue. Lorsqu'il se rend de Madrid à Grenade alors puritaine et réactionnaire, il est arrêté par un groupe de répression fasciste, "l'Escuadra Negra". Quelques jours plus tard il est assassiné et jeté dans une fosse commune à Viznar.


Un poème écrit en 1919 à Grenade

"Si mes mains pouvaient effeuiller"

Je prononce ton nom
Au coeur des nuits obscures,
Lorsque viennent les astres
Boire à l'eau de la lune
Et que dorment les feuilles
Des secrètes ramures.
Je me sens tout sonore
De passion, de musique, 
Folle horloge qui chante
Les heures de jadis.
Je prononce ton nom 
En cette nuit obscure
Et je l'entends sonner
Plus lointain que jamais,
Plus lointain que toutes les étoiles
Et plus plaintif que le bruit de la pluie.
Pourrai-je un jour t'aimer 
Comme je fis naguère ?
Mon coeur, où est la faute ?
Si le brouillard s'éclaire,
Aurai-je une nouvelle
Passion tranquille et pure ?
Ah, si mes doigts pouvaient
Vous effeuiller, ô lune !

Extrait du "Livre des poèmes, Suites, Premières chansons"
1921-1922


Violette Dame mauve le 7 novembre 2015


jeudi 29 octobre 2015

Poésie du jeudi

chromo oiseau couronné ana-rosa(1)


Pour la poésie du jeudi chez Asphodèle j'ai choisi un poème de Federico Garcia Lorca : "Normes"


1

Norme d'hier rencontrée
au ciel de ma nuit présente,
ô splendeur adolescente
opposée au blanc des neiges.
Tu ne trouveras auberge
dans mes secrètes pupilles
que l'amour laisse orphelines
à mon coeur déjà défunt;
mais je cherche le jardin
où se repose ton style.

2

Norme de sein et de hanche
sous le feuillage étendue;
première et neuve vertu
qui vient de naître au printemps.
Ma nudité se prétend
dahlia de ton destin
abeille, rumeur ou trille
de ton chiffre sans mesure;
mais mon amour veut la pure
folie de brise et de pins.


Violette Dame mauve le 29 octobre 2015

La poésie du Jeudi-défi d'Asphodèle

chromo oiseau couronné ana-rosa(1)

Les modalités en cliquant sur l'image


samedi 24 octobre 2015

Les plumes 45 chez Asphodèle

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          Les mots à placer : Frissonner - vide - humeur - plume - embellir - enfin - sommeil - drogué - impasse - poésie - torture - plénitude - trop-plein - Youpi - énergie - absence - temps - dénuement - bol - idée - déchirement - bus - besoin - rationner - abandonné.

          En prenant la plume, je frissonne d'aise malgré le mélange tumulte et en même temps  vide dans mon cerveau. Il est muni d'un alternateur! J'ai besoin d'écrire, de mettre mes pensées en poésie ou en prose. Mon humeur chagrine est le résultat d'une situation aboutissant dans une impasse. Le déchirement provoqué par l'absence d'un être cher me torture toujours. Quand je crois enfin avoir trouvé une certaine plénitude morale, le bus des souvenirs se gare dans mon âme fragile et mon sommeil est assailli par un trop-plein de cauchemars. Le matin, je m'éveille droguée par la multitude de pensées contradictoires, ce qui n'embellit pas ma journée. Résultat ? Dénuement total d'énergie. Je me sens abandonnée pour avoir trop rationné mes émotions. Ras-le bol de ce pessimisme dévorant! Il me faudrait une idée de génie pour sortir de ce marasme.

          Youpi! J'ai fini mon texte et je vais me coucher!

Violette Dame mauve le 24 octobre 2015

lundi 21 septembre 2015

Atelier d'écriture n°188 che Leiloona

© Julien Ribot
Les modalités du jeu en cliquant sur l'image

Vieille porte délavée par le temps
Abîmée par les intempéries
Que caches-tu derrière ce rideau de bois ?
Masure au mur défraîchi
Tu perds tes écailles de ciment
Pourtant la nature t'égaie
Insensible aux jours qui passent.
Les propriétaires trépassent
Se succèdent et s'effacent.
Toi, porte de bois
Tu gardes tes secrets.

Violette Dame mauve le 21 septembre 2015

samedi 19 septembre 2015

Un monde à part, son monde...



Perte de mémoire cyclique 
Obsessions atypiques
Moments difficiles à vivre
Uniquement pour l'entourage.
Il suffit d'un peu de courage
Pour entrer dans le mirage.
Bonne volonté et patience
Face à cette inconscience.
Beaucoup de surveillance
Pour un être fragilisé.
Beaucoup d'amour à donner.
A bientôt quatre vingt dix ans
Elle a le droit d'avoir la paix
Et de ne point se préoccuper
Des malheurs de l 'humanité.
Comment serons-nous
Dans une vingtaine d'années?

Violette Dame mauve le 19 septembre 2015

lundi 27 juillet 2015

Poésie du temps présent


Si depuis quelques temps j'ai délaissé
Ce blog, écrits poétiques, prose et divers,
Le Sud, la paresse et les chaleurs d'été
ont un peu fait stagner mon imagination.
Aujourd'hui, soleil caché par les nuages
Je me remets progressivement à la page, 
Même si l'envie de ne rien faire
Persiste, reste toujours en faction.
"Il fait trop chaud pour travailler"
Une excuse pour le farniente!

Je réfléchis... Très fort... Pour faire quelque chose d'intelligent... 
Trouver un article intéressant,
Pour l'instant cela ne vient pas
Alors j'abandonne....
A plus tard.





vendredi 20 mars 2015

Printemps et éclipse solaire




Printemps et éclipse solaire en ce jour du vingt mars
Deux réactions naturelles, si l'une ravit, l'autre est garce
Printemps pour les couleurs et le plaisir des yeux
Eclipse, dangereuse pour la vue mais beauté des cieux
"Le soleil a rendez-vous avec la Lune"
Et Charles Trenet n'y est pour rien! 

Dame mauve le 20 mars 2015

vendredi 6 mars 2015

Les narcisses et le passé...





A l'approche du printemps les narcisses sont en fleurs
Que de souvenirs, de moments inoubliables pour mon coeur,
Le week-end d'une année lointaine avec la décoration
D'une voiture d'un ami avec des jonquilles à Gerardmer.
Désuet de nos jours, beaucoup diraient quelle horreur!
Bien différents étaient nos jeux et nos distractions, 
Pas de tablette, pas de téléphone mobile, juste la nature.
Nous ignorions ce que nous apporterait le futur :
 Regarder qui derrière nous pourrait nous attaquer,
Avoir peur de sortir le soir ou à la nuit tombée,
Cacher sa voiture pour qu'elle ne soit cambriolée
ETC....
Nous étions encore gais et insouciants.
Alors les souvenirs sont d'autant plus importants


Dame mauve le 06 03 2015

mercredi 28 janvier 2015

Les plumes 40 chez Asphodèle : somnolence de la douleur

Pour le défi n°40 chez Asphodèle

Les mots à placer en cliquant sur l'image


Somnolence de la douleur


          J'ai mis l'écriture des défis un peu entre parenthèses par manque de temps, pour lire davantage, mais malgré mon silence je visite vos sites.

          Mon humeur est un peu bancale. Janvier, à deux différentes périodes, est synonyme de douleur, de tristesse en raison de la disparition de mes parents durant ce mois.

            Le sinueux chemin de l'acceptation des aléas de la vie me fait prendre conscience que cette dernière est courte, que le coeur peut continuer à battre dans une symphonie de souvenirs heureux. 
          Pourquoi ne mettre sur sa palette que des aquarelles grises et des regrets ? Le fardeau n'en est que plus lourd. Je ressens un vide depuis ces deux décès. La présence de mon époux attentionnéet toujours prêt à me faire rire, celle de mes enfants affectueux, sont la résilience dont j'ai besoin. 

          Je suis souvent déchirée entre  des scènes du passé et celles du présent. Puis, un ami venu en visite, un appel téléphonique familial et, en un tour de magie, la morosité s'évanouit. La joie reprend son envol et scintille dans mon regard. La volonté de survivre dans le bonheur est une ténacité à laquelle d'adhère totalement. Le blues est  une sidération à laquelle je désire rapidement échapper.  La vie reste belle.

Dame mauve le 28 janvier 2015

lundi 12 janvier 2015

Sagesse indoue



La connaissance
conduit à l'unité
comme l'ignorance
 à la division

(Ramakrishna)

Plus les circonstances
seront contre toi,
plus ta force intérieure
sera éclatante

(Vivekananda)

Ramakrishna :( Gadadhar Chattopadyaya) né le 18 février 1836 et décédé le 16 août 1886 à Calcuta en Inde. Indouiste mystique Bengali à influencé Vivekananda. Ce dernier a créé la "Mission Ramakrishna pour concrétiser le message de son maître dans les collèges en Inde et ailleurs et dans les Ashrams.

Dame mauve le 12 01 2015

samedi 10 janvier 2015

Liberté de s'exprimer


Un vent de violence
Contre un air de liberté
Armes à la main
Pour des drames
d'aujourd'hui et demain
Quand donc seront prises les mesures
Pour éviter de tels débordements ?
Reste le vent de solidarité, 
 le souvenir ensanglanté
d'un 7 janvier au matin 
et d'une exécution méritée
mais non sans nouvelles victimes.
Pas de rime dans ce texte
Juste un témoignage
aux familles endeuillées
et au courage des forces de l'ordre.

Dame mauve le 10 01 2015